Fault-il que je mette dehors
Ce qui me doibt nourrir le corps
Pour ung trou qui n'est jamais plain?
Je tien celuy bien inhumain
Qui pour telz faitz fait ces effors
A l'appetit d'une putain.
Pour quoy je concluz pour certain
Que par telz tours puans et ors
Il se rend du nombre des mors
Que veult continuer ce train
A l'appetit d'une putain.
Marcel Schwob; Le Parnasse Satyrique du Quinzième Siècle (1905) p54
No comments:
Post a Comment